Site des familles Guihéneuf - Texier
& Pujol - Bergé

 
 
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SIGUER:Département de l'Ariège, Arrondissement de Foix, Canton de Vicdessos . Altitude : 615 / 2902 m, où Joseph et Florentine résidèrent de 1949 à mai 1958.

(Source: http://www.histariege.com/siguer.htm.)

L'Histoire Générale du Languedoc (écrite par des moines) nous apprend que l'abbaye « Sancti Johannis de Val Siger », vers 1050 est bien du comte de Foix qui prête serment à Pierre, évêque de Gérone (héritée de son père Roger, comte de Carcassonne), et dépendant des comtes de Barcelone en 1064. A la même époque, le Cartulaire de l'abbaye Saint-Sernin de Toulouse y mentionne l'église Ste Baudile de « Segario » dépend du prieuré de Vicdessos?Quoiqu'il en soit, en 1119 et 1141, l'église de « Siger » appartient à St Sernin En 1146, l'Histoire Générale du Languedoc mentionne Bernard comme abbé du monastère « sancti Johanis » de la vallée de Siguer, administrée par des consuls en vertu de la charte de 1262 .

Port de Siguer : mentionné dans les registres de Jacques Fournier comme lieu de passage vers l'Espagne (comme durant la seconde guerre mondiale). Lors du conflit entre le comte de Foix et le roi de France, en 1272, Siguer est confirmé comme appartenant au comté de Foix. Le 18 janvier 1380 : dans le château de Mazères, hommage rendu à Gaston Fébus par « lo noble Arnaut de Marquefave, senher de Montfaucon, donzel, per los locx de Boguer (Siguer), de Gestes (Gestiès), de Montoliu (Montoulieu), de Senhaas (Seignaux), en Savartes?nbsp;» En 1385 : mention de la forge (appartenant au comte de Foix).

Dans le dénombrement fait en 1390, « Seguier » comporte 57 feux, dont 12 feux sont au comte de Foix et 45 au seigneur de Saint Paul de Jarrat, Pons de Villemur qui sera seigneur en partie seigneur de Siguer en 1401. A noter qu'il y est fait mention d'une des 11 forges du Pays de Foix (appartenant au comte de Foix). Le prieur de Vicdessos y possède une maison. Ressortissait de la châtellenie de Quiè en 1450. Lors des guerres de religion, Delescaze dans son « Mémorial Historique » signale que le chef des protestants, J. C. d'Audou, après avoir tenté sans succès de s'emparer de Vicdessos se réfugie à Siguer en 1568 d'où les gens de Siguer le forcent à quitter le pays ; puis, les habitants de Siguer prennent part, sous la conduite de Mongascon, à la reprise de Tarascon en 1569. A noter que sous l'ancien régime Lercoul et Gestiès sont des hameaux de Siguer. Avant la Révolution, Siguer est siège de justice royale pour les lieux de Siguer, Lercoul, Gestiès, Centraux, Seuillac : le 1 er juge est le sénéchal de Pamiers. La communauté a droit d'entrée aux Etats de la province par le député qu'elle envoie. En 1896 : Siguer et Lercoul comportent 184 maisons, 195 ménages pour 700 habitants. Siguer, seul : 127 maisons, 138 ménages pour 498 habitants. Au début du XXème siècle, quatre instituteurs y exercent pour Siguer et ses hameaux : Canarilles, Lut, Centraux, Sarradel, la Porre, Suilhac

A noter la renommée des anciennes carrières d'ardoises (exploitées jusqu'en 1947). Durant la seconde guerre mondiale, un poste de douane allemand était installé à Siguer. Cependant, la localité fut un lieu de passage important (Siguer, Gnioure, Andorre).

De 1949, arrivée de Joseph et Florentine, à 1958, départ pour Le Palais (56), Siguer comptait une soixantaine d'habitants. ( les douaniers et leurs familles: 20 personnes). Il y avait deux instituteurs, (Mr et Mme Caujolle), un curé, ( l'abbé Simore), deux épiceries, (Coop et Epargne), deux cafés, un bureau de tabac, quelques familles qui vivaient d'élevage, un menuisier, et deux moulins à eau habités, qui avaient cessé leur activité. Un boulanger de Capoulet et un de Auzat, ainsi qu'un boucher de Auzat et un épicier de Foix assuraient le ravitaillement du village. Egalement un marchand de vin de Capoulet, un coiffeur de Auzat, qui avait une magnifique traction, un marchand de légumes ambulant (Tétou), avec sa charette et son âne , et un projecteur occasionnel de film sur la place, un drap contre le mur du café. Le village comptait quatre voitures: une Simca 5, (le curé), deux Arondes (un douanier et un café), une traction 11. (un douanier). Les voitures de passage (jeep des travailleurs du barrage de Gnioure), faisaient notre bonheur quand elles étaient sur la place. Et aussi la fête pour la Pentecôte, la transhumance l'été, la neige l'hiver avec le chemin tracé dans la rue principale pour aller à l'école, le feu de la st Jean sur la place, et les rares vacanciers (des parisiens!) qui venaient l'été dans leur maison familiale..... . Clic Suite

Rose Pujol à Dinard
 
         
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